Le blog d’Ikare

En arrivant au taff en ce moment, quand je sors du métro, je ne m’en vais pas tout de suite d’un pas frétillant vers la pointeuse. Sur un panneau de pub à l’entrée du métro, je me réveille :Il s’agit de la nouvelle campagne de pub de Dolce & Gabbana. Oh mon dieu. Je la trouve limite choquante, surtout à l’entrée de Montreuil mais je ne l’ai pas vu ailleurs encore. Quoiqu’il en soit, ces éphèbes esthètes malgré quelques poils au menton, m’engourdissent un peu le matin.
Ce sont des footballeurs italiens (dont on se fout des prénoms, hein?!) photographiés par Mariano Vivanco.

2 autres photos participeront à la campagne de pub, je ne sais pas si elles seront affichées en France :
Pour les amateurs : les photos s’affichent en plus grand si on clique dessus

Voilà un film qui met de bonne humeur!
Je me suis laissé emporte par cette histoire d’un trans qui est à 2 doigts de finir sa métamorphose et qui découvre à la veille de son opération qu’elle (il) a un fils un rien paumé en prison. Là commence un road movie de New York à L.A. entre 2 inconnus. Bree (c’est son nom!) ne révèle pas tout de suite à son fils qu’il (elle!) est son père.
Beaucoup de tendresse dans ce rôle interprété par une Felicity Huffman parfaite et drôle… qui est à l’opposé de Lynette de Desperate Housewives. Quelle performance, elle est métamorphosée…

Ce film n’est pas un film émouvant, mais plutôt une jolie comédie. On ne s’y ennuie pas un seul instant…

Le site sur allociné

Cet(te?) après-midi, j’ai trainassé à la FNAC et j’ai fait quelques achats…

• Le best-of de Massive Attack.

C’est une grande honte, mais je ne connais que très peu. Comme ça, je découvrirais un peu mieux. J’ai adoré 1 album de Craig Amstrong (leur producteur, je crois) et là je me suis dit qu’il fallait pas que je passe à côté de la découverte des Massive Attack, qui sont un peu incontournables.

• La minute blonde en DVD.

Oh, yeaaaah. Bon, rien à dire, mais je crois que je vais me poiler. Il peut y avoir du très mauvais et pas drôle, mais aussi du très TRES bon et percutant. Je me vais de ce pas essayer de séduire Dorothy Doll, le bonus du DVD.
“Les garçons adolescents se préoccupent énormément de la taille de leur sexe. Je tiens tout de suite à les rassurer. Ce n’est pas la taille qui compte… c’est le goût”. BONSOIR!

• Rendez-vous à Paris, le troisième opus de la tétralogie du Monstre, d’Enki BILAL.

Je n’ai jamais aimé les bds après Astérix et autres Tintin. Je ne lis aucune bd. Mais j’ai toujours adoré Enki BILAL. C’est une prof en seconde qui nous a emmené au festival “Etonnant Voyageur” à Saint-Malo et c’est là-bas que je l’ai découvert. On fumait des splifs sur la plage le soir, en jouant du djembé, en seconde roots quoi (oui, ça m’est arrivé d’être roots, il me reste même des baggys!). Bref, chaque cellule de Bilal est une perle, une oeuvre d’art. Il y a environ 3 ans et demi entre chaque album (et celui là est pas très épais), mais c’est un régal pour les yeux et pour l’histoire aussi. C’est dans “Le Sommeil du Monstre” (la première partie) que figurent les premiers story-boards du “Cinquième élément” dont Bilal a été le dessinateur.
La quatrième de couv’ dit : “La tétralogie du Monstre est une histoire à 3 voix. Celle de Nike, Leyla et Amir, orphelins de Sarajevo aux 4 coins du monde. Il s’agit avant tout d’un travail sur la mémoire. Mémoire individuelle et collective, où se mêlent des images écrites de l’éclatement de la Yougoslavie, “lieu” de naissance d’Enki Bilal (pays à peine disloqué que déjà sorti des mémoires), et des images peintes d’une entêtantes conjugaison passé-présent-futur. Mémoire prospective aussi, potentielle, élargie des Balkans au reste du monde, comme dans un miroir. Ce monde, seul endroit, il faut bien le dire, qui nous reste”.

J’ai hâte de m’y mettre, mais relire les 2 premiers semble plus sage pour apprécier correctement m’histoire.

Qu’ais-je ouvert ce soir chez un ami? Un ami d’autant plus pédé-comme-il-faut… Un cadeau d’anniversaire que lui on offert ses amis de promo : LE SEXE POUR LES NULS.

Après un feuilletage intéressé, je ris :

“A QUATRE PATTES

La position illustrée par la figure 10.3 consiste pour l’homme à pénétrer la femme à quatre pattes, à l’instar des autres mammifères (il s’agit d’un coït vaginal et non anal). L’intromission de la verge est peut-être moins facile que dans les méthodes vues ci-dessus, mais c’est question d’entraînement. eLa position souvent intitulée “levrette” permet à l’homme de stimuler le clitoris de sa compagne; en outre, elle procure à cet être visuel un point de vue sur une région éminemment excitante de l’anatomie féminine. Quant à sa compagne, elle risque juste d’avoi un peu mal aux genoux, mais c’est l’unique inconvénient de cette posture. Celle-ci demeurent pourtant moins répandue que les autres, sans doute, entre autre raison, parce qu’elle n’offre que peu de perspectives visuelles à la femme — à moins de faire l’amour face à un miroir ou à son poster favori.

Par derrière, le pénis peut pénétrer plus profondemment. Il faut donc éviter de meurtrir la partenaire : chez elle, certains organes sont aussi sensible à la douleur que les testicules.

Certaines personnes aiment qu’on leur introduise un doigt dans l’anus quand leur excitation atteint son maximum. Voilà un souhait facile à exaucer dans la position de la levrette. Il faut toutefois veiller à ne pas mettre le doigt dans le vagin ensuite, à cause des risques d’infection. ”

Ils sont marrants ces hétéros… hum hum HUM

Alors voilà, les beaux jours reviennent à Paris et c’est TRES agréable. Il fait chaud et il fait beau… et c’est super agréable.

Hier soir, j’en ai profité pour aller pique-niquer sur le Champs de Mars pour profiter de cette atmosphère idéale.
La tour Eiffel est éclairée, elle scintille. J’adore Paris, je suis amoureux de Paris, je ne pourrais pas me passer de cette ville.

Au menu, un pique-nique bien franchouillard : rosé, saucisson, paté, camembert…
J’adore Paris l’été! Je sais, je l’ai déjà dit, rrrrrrohhhhh

PROFITONS-EN !!!