Chroniques Québécoises 1

L’avion a posé ses roues sur le tarmac de Québec à 14h30, heure locale. La température au sol est de 31°C. Waouh!

Je m’étais levé super tôt en France pour partir. Décollage sur Air Canada à 10h30, heure de Paris, escale à Montréal. Escale ou j’avais 20 minutes pour: sortir de l’avion, passer la douane, récupérer ma valise, refaire réenregister mes bagages, me faire embarquer… Ras la fouffe, je l’ai eu. Le second avion était un peu plus inquietant : BEAUCOUP plus, en fait. Un vieux coucou pour 35 personnes grand max, avec les hélices sur les côtés et qui vibre pendant toute la durée du trajet. Et la bête vole super bas, un peu flipant.

Ici, il fait beau et chaud donc et j’ai rejoins Nico chez lui en taxi, et c’est là que tout devient énorme : ca y est! Je suis au Québec : autant dans l’avion encore quelques personnes parlaient français (enfiin pas avec l’accent québécois), autant là, je me débrouille.

Nico m’accueille, une rapide douche et petite ballade avant d’échouer dans un bar gay ou on me dit que ce soir, tout le monde doit etre bourré. L’ambiance est sympa, beaucoup comme à l’américaine, j’ai l’impression.
Ca doit etre le temps et tout ca, mais c’etait super agreable, en terrasse… Ah oui, parce que depuis a peine une semaine, les fumeurs ne peuvent plus fumer dans des endroits publics quelqu’ils soient : ni en boîte, ni dans un bar… seulement en terrasse.
L’accent québécois est charmant en vrai, je suis fan. Malgré mon état de fatigue (jet lag, bières…), à l’oreille, je kiffe grave et j’en ai encore pour 2 semaines, c’est cooooooooooool.