Koh Lanta, saison 6

Il y a quelques temps, j’aimais assez la real-tv française. Le format qui m’a le plus accroché a toujours été Koh Lanta. L’adaptation de Survivors à la française par TF1 est franchement réussie et chaque année, je suis séduit par l’émission. Surtout, j’aime à croire, que c’est une des rares émissions qui n’est pas trop bidonnée. La sixième saison a débuté la semaine dernière. Cette année, les naufragés sont sur l’archipel du Vanuatu et les teasers promettaient : un cyclone sur les campements, les trois-quart de l’équipe technique rapatriée… Bref, les candidats allaient en chier.

Comme la saison précédente, les équipes sont séparées entre juniors et seniors, la médiane d’âge étant 31 ans. Et puis cette année, ils nous ont fourni un très beau casting. Certains garçons sont plutôt très agréables à regarder, parce que beaux et très acceptablement bien foutus! Je frétille donc devant ma télé à mater. Et il faut en profitez avant qu’ils ne perdent toutes leurs formes.
Chez les jeunes donc, on essaie de s’organiser et on se balade torse-nu à essayer de faire du feu, construire sa cabane… Et je mettrais volontiers ma main à couper (pas ma jambe, hein!) qu’il y aura peut-être un peu de sexe sur le campement. Ca pourrait être marrant.
Certains notent une certaine tendance à se faire des K-L1s, mais sur Koh Lanta, ils s’embrassent et se font des bisous entre garçons, tous mignons pour se féliciter ou s’encourager. Alors, moi je me dis que je tenterais bien l’aventure, hein… bon, pour ça, il faudrait que j’arrête de fumer et que je cache ma ventoline! La nouveauté cette année, on l’aura compris, c’est que les candidats sont vraiment sexys!
Toujours chez les jeunes, on a le droit à la co-conne qui cherche une pince à épiler, parce que il faut rester sans poil sur la plage, question de survie! J’en passe et des meilleurs. Certaines répliques valent toujours la peine, dixit Sébastien, fraîchement sorti hier soir, luttant à faire du feu : “Et on s’y est mis à quatre, en se frottant le bâton”. Ah ouais?!
Chez les vieux, pas grand chose à noter : des candidats pas très surprenants. Mais les épisodes suivants risquent d’accentuer les rivalités féminines… et ça, ça vaut toujours le coup, pendant qu’ils continuent à survivre!

A la fin de l’émission, comme d’habitude, on a le droit au vote de l’équipe qui a perdu le jeu d’immunité et “sa sentence est irrévocable” pour le candidat qui quitte ses camarades, nous annonce le fameux Denis Brogniard, après une sorte de thérapie de groupe bien poussée.

Vivement la bouffe des asticots (a priori la semaine prochaine), les filles qui se crêpent le chignon, un clash jeunes-vieux, la réunification, les épreuves bien sadiques de la fin… Longue vie à Koh Lanta!

Bataille des Scullies : Non, c’est MOI!

Désolé Lilith et H. de Crayencour, mais la VRAIE SCULLY, c’est moi! Ce crépage de chignons vous va à râvir, mais vous faites grise mine avec votre bataille de mégères!


Je suis Scully, car…

1) Je trouve qu’Emily, c’est un très beau prénom pour une fille.
2) Quand ma collègue me fait chier, je lui plante mon critérium dans la nuque.
3) Ca m’est arrivé de tomber amoureux d’un shérif aux dents longues.
4) Mon téléphone portable passe dans l’ascenceur de mon travail, comme au FBI.
5) Il m’arrive de rentrer seul chez moi et de finir un rapport, seul devant mon ordinateur, puis de me faire à manger seul et enfin de m’endormir seul. Mais ça ne me gêne pas.
6) Quand je pleure, mes yeux deviennent rouges et mes lèvres se retroussent.
7) J’adore courir après les gens dans la rue pour les arreter (ou accessoirement leur donner mon numéro de téléphone), de préférence de nuit avec une lampe torche. Même qu’après, je suis pas décoiffé. 8) Je mens à mon chef, mais c’est pour la bonne cause.
9) Je peux consoler des garçons aux larmes de crocodile, sur mes genoux en leur caressant les cheveux.
10) Je ne panique pas quand il faut brûler au lance-flammes des humanoïdes.
11) Parfois, je doute de ma famille, comme Scully. Et quand je titille un peu, j’arrive à connaître de lourds secrets.
12) J’hésite de manière incessante entre du volume, de la longueur, ou une certaine raideur pour mes cheveux.
13) Je sais jouer avec mes lèvres et mes sourcils pour montrer que je suis sceptique.
14) J’ai toujours confiance en les gens en qui j’ai confiance. Je peux même avoir confiance en un ami qui a le corps de quelqu’un d’autre. Et vice-versa.
15) Je peux me retrouver sur un lit dans une position avec quelqu’un, exactement comme 9 ans auparavant, concluant ainsi une période de ma vie, une sorte de cycle.

Et toc!

La Marche de l’Empereur

Je n’avais pas eu le temps d’aller voir La Marche de l’Empereur au ciné lors de sa sortie. Je me l’étais procuré il y a déjà plus de 6 mois et retardais son visionnage car j’avais vraiment peur de me faire chier devant un film documentaire pendant 1h20.

Au final, je l’ai regardé hier et… j’ai trouvé ce film charmant. Les images sont magnifiques. Les voix-off collent parfaitement aux manchots. La musique de la magique Emilie Simon est particulièrement appropriée… Du coup, on ressent les émotions comme les pinguins : joie, tristesse, rire, peur… Tout ça.
Donc un film à voir absolument, très réussi et devant lequel je ne me suis pas emmerdé une seconde, et qui rend heureux aussi. Chouette!

Contes pour célibataires

Hier soir, petite soirée théâtre…
Contes pour enfants majeurs aux Blancs-Manteaux. Chouette pièce dans un petit théâtre. On a beaucoup ri. Un humour débile, potache, tout ce qu’il faut pour passer un bon moment! Et puis, la salle est en sous-sol et climatisée!!! Donc bon, de quoi passer une bonne soirée. Petite salle, petit public, ça faisait longtemps que je n’avais pas fait une salle de ce genre. Et l’atmosphère y est toujours charmante et intéressante. Donc un grand merci à Tac-Tac pour l’invitation.

Puis petit verre dans le Marais, en terrasse du Carré. Un jeune homme au t-shirt rouge passe 1 fois, 2 fois, 3 fois, avec un groupe d’amis. Et on se regarde avec insistance… Il s’en va… Je me lève et cours lui donner mon numéro de téléphone. “Si tu as envie d’aller boire un verre, appelle moi!”. C’est la première fois que je fais un truc du genre.

Bref, il y a quelques minutes, le jeune homme appelle. “Bonjour, je suis le jeune homme de la rue Sainte-Croix de la Bretonnerie”. Moi d’un air détaché… “Euuh? Ah oui, oui, ça va bien?”!!!
Il me sort : “Tu sais, quand tu m’as donné ton numéro hier soir, il y avait mon copain à côté de moi…”
Moi : “Ah… Euuuh… D’accord, mais… Tu mates beaucoup quand ton copain est à côté de toi, quand même!”
Lui : “Oui, mais lui aussi, d’ailleurs si tu veux on peut déjeuner tous les trois ce midi!”
Moi : “Euh… ben c’est que j’ai un travail!”
Lui : “Bon, ben une autre fois”
Moi : “Oui!”

Voilà, donc j’étais tout fier de moi, aborder un mec dans la rue comme ça… Ok, c’était dans le Marais! …c’est pas mon habitude. Et ça aurait pu relancer un peu ma vie sentimentale inexistante du moment. D’autant que je suis en “attente de dégroupage total” chez Free et que je n’ai pas le net chez moi…
Bon, alors maintenant, même si les mecs en couple (avec le mari présent en plus!!!) se mettent à mater ardemment… Comment on fait? Hein?! HEIN??!!!

Tout le monde a besoin d’un DILDO!

LOST, ze disapearsss! (pas de spoiler!)

Je viens de terminer la saison 2 de LOST, alors qu’elle a débutée hier soir sur TF1. La série est diffusée de septembre à juin sur ABC et parfois avec 2-3 semaines de coupure. Plutôt pris dans 24 et Desperate Housewives, j’avais mis LOST un peu de côté en m’arrêtant en mi-saison. J’ai “dévoré” la deuxième partie.
J’avais trouvé le début un peu mou à l’époque, mais en a posteriori, on apprend vraiment beaucoup de choses et l’histoire est bien relancée. A partir de l’épisode 15-16, le rythme s’accèlère et j’étais accro, m’enfilant les épisodes les uns à la suite des autres. Beaucoup de retournements de situation rapides, quelques réponses… enfin, surtout une, ce qui ne nous laisse pas totalement sur la faim comme la fin de la saison 1. Bon, il s’agit quand même d’un season final, donc un peu frustré quand même.
J’ai trouvé les personnages bien plus construits sur la saison 2 et les scénarii sont un peu moins fantastiques. Du coup, les flash back sont intéressants et prenants. Les caractères sont en exergue et leur confrontation fait le fond de la saison. Encore une série US qui ne déçoit pas!

Je la conseille donc pour ceux qui ont accrochés à la saison 1. LOST change d’ambiance et c’est un régal!