J’adore ce tube!

Cet été, je vous annonçait fièrement que ça puait le sexe dans les oreilles! Cet hiver, j’ai un énorme coup de coeur, histoire de nous réchauffer un peu avec ce temps maussade tout autour de nous.Je n’ai qu’à vous dire de vous laisser bercer et de sourire à ces sonorités chaudes qui, moi, me projettent carrément sur une plage ensoleillée de sable fin!

ENJOY!…

Alive – Locktown & Alexandra Prince

…Et bon Week-end ;)

Ce tube m’énerve

GelQuand l’envie se fait sentir, je me dirige vers mon coffre (au pied de mon lit) sur lequel trône un petit sac provenant de la soirée d’ouverture d’un SPA dans le Marais. Ce sac est beau et surtout il est passe-partout, de manière à ce que mes visiteurs convives ne soupçonnent en rien la contenance. Et surtout, il est à portée de main, quand le moment de se visiter intervient. Vous l’avez compris, c’est à l’intérieur de ce petit sac que j’entrepose mes capotes et mon tube de gel, prêts à l’emploi, au centre du lieu de l’action donc.

J’en viens au cœur du problème : ce qui est embêtant avec le gel, c’est quand le tube est presque vide… Non, mais c’est vrai, en pleine action, c’est super déstabilisant. On est là à appuyer bêtement sur le tube comme s’il s’agissait de dentifrice, mais vainement rien n’en sort… Et puis on fait de larges gestes du haut vers le bas, plusieurs fois pour essayer de faire sortir ne serait-ce qu’une larme de la substance, au risque de foutre un pain dans la gueule de son partenaire. Et puis on s’énerve… GgrrrHurmmph C’est vraiment pas pratique et je redoute ce moment à chaque fois avec angoisse. Je passe, enfin, sur le délicat bruit qui retentit quand par malheur, le tube recrache plus d’air que de gel. Comme si c’était sa manière de dire de passer à la pharmacie alors que merde, là ce que je veux c’est baiser…

 

Je m’insurge donc et lance un appel aux fabricants de tubes de gel : Merci de réfléchir à un moyen un peu plus glam’ de gérer nos fins de tubes !

Bienvenue sur le blog d’Ikare, dans sa version 3

Et voilà, nous y sommes! :)
Puisqu’il est de bon ton de migrer en ce moment, j’en profite aussi en m’installant sur cette nouvelle adresse, plus facile à retenir et vous présente la Version 3. C’est vrai que la version 2 n’a pas duré bien longtemps mais je me suis enfin laissé convaincre à switcher sous Wordpress, tout seul comme un grand. L’aventure continue donc pour moi, tout pareil : vous retrouverez tous mes anciens posts de la version Blogger et les (vos) commentaires y sont aussi (trop magique la migration!). Les catégories de posts restent inchangées et le layout reprend des éléments de la précédente version, pour ne pas trop vous perturber.

2 barres sont désormais présentes sur la droite pour rajouter du contenu, en l’occurence la possibilité de dialoguer ensemble quand je suis en ligne, des photos en instantané et pas mal d’autres choses que je vous laisserais découvrir au fil du temps…

Voilà, je suis ravi!

Un énorme merci à ma Maman et au monsieur qui a développé le plug-in de migration de la nouvelle version de Blogger (anciennement Bêta) à Wordpress. Wordpress dans sa version 2.1 ne permet pas de le faire et ce plug-in m’a un peu sauvé la vie, en récupérant les flux RSS des billets et des commentaires associés. Il marche plutôt bien.

Une des choses qui me faisait peur était de perdre le page ranking Google en changeant d’adresse. Alors je vais donner un petit coup de pouce aux robots Google.

Stats

BlueCosmic est le 4ème point d’entrée depuis Google depuis juin dernier… Alors permettez moi de crier :

J’ADORE BLUECOSMIC

J’EXECRE BLUECOSMIC

JE SUIS COMPLETEMENT INDIFFERENT A BLUECOSMIC

D’ailleurs avez-vous vu que Bluecosmic cache magnifiquement son jeu?

Allez, trève de blabla : bienvenue sur la version 3 toute neuve de mon blog!!! ;)

Wake-Up Tour

J’étais à son concert exceptionnel sur le Champ de Mars ; la scène s’étendait sur une cinquantaine de mètres avec en fond la Tour Eiffel. Dans la tribune, je mangeais du pop-corn avec un amoureux et ma maman. Madonna nous en mettait plein la vue : elle interprétait très justement les derniers titres de son Confessions on a dancefloor et le spectacle était incroyable : des moyens extraordinaires face à la Dame de Fer et une intéraction de l’artiste avec son public décuplée, par rapport à ce qu’on avait pu voir quelques temps auparavant à Bercy. Une totale merveille : la Madonne jouait son rôle pleinement et le public était comblé et râvi. Transporté par la musique, tout Paris aimait Madonna ce soir là, car le concert était diffusé sur des écrans géants un peu partout dans la capitale.

Mais il m’en fallait plus! Je décidais alors d’aller me promener et de me rapprocher de la scène pour voir l’icône de plus près. Il était facile de s’en approcher : les fans étaient cools et ne beuglaient pas quand on leur passait devant. En quelques minutes, je me suis retrouvé au bord de la scène à guetter la chanteuse en train de faire son show. J’étais ébahi! C’est alors que je faisais tout mon possible pour attirer son attention.
Et elle me remarqua!!! Assez pour me faire comprendre de la rejoindre à un endroit précis, devant les autres spectateurs qui n’en revenaient pas. Moi, non plus! Sur le cul, je me suis donc empressé de la retrouver: à l’endroit où il y avait de l’espace entre 2 morceaux de scène, à cheval sur les allées transversales du Champ de Mars. En fond, la fin de Future Lovers retentissait. Madonna m’a pris dans ses bras et m’a dit “Salut Florian, je suis contente de te voir”, dans un français parfait. Etonné et charmé par la situation, je me suis laissé allé et on a commencé à danser tous les deux, alors que la musique continuait. Les gens passaient autour de nous et me jalousaient un peu. J’étais sur un petit nuage, ne calculant pas trop ce qui m’arrivait. J’observais (et admirais) la chanteuse en pleine forme et magnifique, tout en essayant d’attirer le regard de mon amoureux dans les gradins pour le voir pâlir de jalousie! Madonna était gentille et commençait à se foutre de la gueule des gens autour de nous (“Regarde moi cette lopette!”…). Quelle blagueuse! J’ai alors eu la présence d’esprit de lui demander comment est-ce qu’elle savait comment je m’appelais : elle m’a répondu que son producteur l’avait prévenue. A ce moment j’ai senti la scène se soulever sous nos pieds et des énormes toiles noires se sont hissées autour de nous pour nous cacher du public. Mado sortit son BlackBerry et me montra le mail de son producteur : “Be smart, Give a Hug to Florian”. Elle me sourit et me serra dans ses bras. Tout le monde autour de nous (entre les 2 scènes) avait disparu et les premières notes d’un version remix de Frozen que je ne connaissais pas retentirent. Une danseuse habile lui amena son micro et elle commença la première phrase de la chanson : “You only see what your eyes want to see”. Elle m’embrassa une ultime fois et courût à l’autre bout de la scène pour se mettre en place. Je me suis retrouvé là, caché, seul, bête. L’intro du morceau montait et sur le premier beat, les toiles qui m’encadraient et me cachaient du public tombèrent d’un coup et des millions de cotillions s’envolèrent au dessus de la scène et du public qui me faisait face. Me voilà, sur la scène, en hauteur devant un Champ de Mars rempli de fans de Madonna. Je détalais vers les escaliers me ramenant sur la terre ferme, abasourdi par ce que je venais de vivre… L’ambiance était à son paraxysme : tout le monde gueulait et Madonna continuait la chanson : “How can life be what you want it to be, You’re frozen, When your heart’s not open”. Je courais rejoindre mes accompagnateurs dont je distinguais le sourire béat, de loin….

… C’est à ce moment là que mon réveil sonna, il était 7 heures du matin et une longue journée m’attendait…

Bilan 2006

C’est la fin de l’année, il est désormais l’heure, pour moi, de faire le bilan de ce qui a pu se passer en tout au long de 2006. Cette année qui se termine a été très riche, et j’en fais le bilan avec plaisir… mais certain que 2007 me permettra de mettre en avant tout ce que j’ai pu retirer de 2006.

Professionnellement d’abord, j’ai su m’épanouir au boulot. Je suis assez fier en fait de tout ce que j’ai pu y faire. Mon premier papier a d’abord été publié et c’est toujours sympa de voir la forme finale de ce qu’on écrit : voir les circuits de correction et aussi apprendre à écrire et à s’adapter par rapport à son public. Je me suis aussi investi dans de lourdes formations pour mes collègues et ça a été un moyen de connaître une très grande majorité de la maison dans laquelle je bosse. J’ai, enfin, su m’imposer pour avoir un rôle déterminant sur une politique de mon ministre et ai, à ce titre, endossé un rôle que je ne pensais pas forcément avoir à jouer. L’expérience était franchement intéressante et j’ai beaucoup appris. Et si c’était à refaire, je refoncerais pareil!
A côté, j’ai également donné des cours dans mon ancienne école et là encore, ce que j’en tire est très riche. Le contact avec des élèves est passionnant, ce qui permet d’avoir un feed-back relativement direct, chose qu’on n’a pas en sortant derrière son écran d’ordinateur au boulot.
Et puis, j’ai décidé de reprendre les cours en octobre, en plus du taff fixe, avec un DEA d’économie. Le rythme subi jusqu’à ces vacances, n’a vraiment pas été évident, tant en charge de travail qu’en sommeil, mais le sujet est réellement passionnant et je m’accroche en commençant mon mémoire.

En ce qui concerne le net et ce blog, je suis aussi heureux de ce qu’il m’a permis de vivre en 2006 à travers ces 157 posts. Les statistiques de fréquentation faisant partie intégrante du jeu! Les visiteurs m’ont incité à écrire en essayant de rediriger les sujets sur ce qui pouvait intéresser, tout en gardant ma personnalité avec ses défauts, tant au niveau contenu qu’écriture. Je suis heureux de bloger, de me confier, d’être aussi parfois (souvent?) très superficiel. J’aime ce contact avec les lecteurs, commentateurs inconnus ou non. Surfer sur d’autres blogs et en apprendre un peu plus sur les tranches de vie de leurs auteurs est, de surcroît, une activité qui prend du temps mais qui m’est très enrichissante grâce à la diversité que l’on peut trouver sur le net.
Le blog m’a aussi permis de converser et même de rencontrer des gens avec qui il est très agréable d’avoir ce type de contact et de passer du temps.

Petit détour de l’autre côté de l’Atlantique : début juin, j’ai passé 2 semaines entre Québec, Montréal et New York. J’ai adoré le Québec et les Québécois, leur contact tellement différent d’en France et si agréable. J’ai été complètement abasourdi par New York dont je garde un souvenir très spécial entre réél, imaginaire et fantasme… Très excitant.
Très beaux souvenirs également de Cologne en amoureux, pour leur carnaval bourrin et pour le lit du Sofitel!

Sentimentalement justement, gros sujet! Un début d’année marqué par la poursuite d’une histoire très intense, comme je n’en avais jamais connu. Elle s’est terminé à cause de divergences… Grandement par une différence de mentalités et d’attentes. J’en garde de très bons souvenirs et depuis je cours derrière quelque chose qui lui ressemble… Je modèlise ce souhait par un équilibre fond/forme. J’attends qu’il y ait le fond, c’est-à-dire que les sentiments et la fusion entre nous soient là, mais j’espère aussi à la forme : que les codes, les envies, les attentes, la communication, le dialogue, se déroulent d’une manière saine et franche. Il s’agit, à travers ces lignes de me préciser ce que j’aimerais trouver. Depuis donc, cet équilibre je ne l’ai pas retrouvé : souvent la forme, mais là, c’était le fond qui faisait défaut, même si ces histoires étaient vraiment très chouettes… les sentiments ne suivaient pas forcément.
Et désormais, il ne s’agit pas d’être juste bien avec quelqu’un, il s’agit surtout d’entretenir la petite flamme qui fait la magie d’une relation amoureuse… cette petite flamme qui a vite fait de s’amenuiser après la période de découverte de l’autre, cette petite flamme que l’on ne contrôle malheureusement pas. Cependant, plus ça va et plus je me rend compte que tout ce à que je viens d’écrire, c’est beau sur le papier, mais que concrètement à mettre en oeuvre, il faut s’accrocher pour trouver le jeune homme qui m’apportera un minimum de tout ça. 2007, sera donc l’année de la concession! Promis! Et l’équilibre dont je parle je le négocierais plus souplement… Et je me laisserais aller… Et je ne me freinerais pas dans ce que je ressens… Et je continuerais à faire parler l’autre… Et je serais bien…
Et je serais heureux! Vous pareil, d’accord?!

Voilà, de mon côté. Je regarde 2006 avec plaisir et j’aborde 2007, heureux à l’idée d’avoir une année, qui, je le sens, sera toute aussi épanouissante.

Enfin, petit montage de la musique qui m’a accompagnée durant toute cette année… 12 minutes d’extraits :

Noël… en famille

Pour moi Noël a toujours été une fête familiale. C’est l’occasion de retrouver ma tante artiste-peintre que je ne vois qu’à cette occasion et qui vit à Bastille (et qui ne m’a jamais invité à aller visiter chez elle), mon autre tante et mon oncle ainsi que mes 2 cousines. L’une d’entre-elle est née 4 mois avant moi et quand nous étions gamins, nous étions inséparables et complices. Et puis elle est allée habiter dans le Nord avec ma tante. Du coup, chaque Noël sous le sapin, c’était un moyen pour nous retrouver. Et puis nous avons vécu, éloigné sans trop vraiment garder contact. Nous avons grandi chacun de notre côté et évolué… un peu à l’opposé l’un de l’autre. Moi extraverti, toujours la patata… Elle est devenue vieille-fille bien avant l’heure, avec le sac à main de grand-mère qui va avec. A l’époque où je découvrais les boîtes de nuit, elle s’est retrouvé enceinte d’un mec du Nord (elle s’est vite fait avortée)… et un problème profond a commencé à apparaître dans sa tête, venant probablement d’histoires avec ses parents. A 22 ans, elle a été internée pendant tout un été. Et puis elle en est sortie et a commencé des études d’infirmières, tranquillement, en revenant sur Paris. Moi, je partais pour Rennes. Elle a emmenagé près de chez son père : sur le pallier d’en face avec un chat et un chien. Tout l’inverse de moi donc.
La semaine dernière, à la veille de la soutenance de son mémoire, ma mère m’apprend qu’elle s’est refaîte internée en urgence par sa psy qui la suit toutes les semaines. Mais qu’elle aura une permission pour passer Noël en famille. Elle était donc là le 24 décembre au soir. Elle comatait, arrivait à peine à ouvrir les yeux. A peine arrivée et après avoir embrassé tout le monde, elle est allée s’assoupir, a ensuite ouvert ses cadeaux avec nous, puis s’est recouchée…. pour se réveiller de nouveau pour déguster la bûche. Elle était amorphe.
C’est tellement bizarre comme sensation de voir quelqu’un dans cet état, avec du vide dans le regard, les yeux vitrifiées, la voix fatiguée, la démarche titibante… D’autant plus quand il s’agit de quelqu’un qu’on connaît bien. Que je connaissais plutôt bien, devrais-je dire. Mais aujourd’hui, nous sommes tellement différents. C’est dûr de se dire qu’on a peut-être un rôle à jouer… Rôle que je ne me vois pas jouer actuellement car je suis débordé et parce que le temps nous a trop éloigné pour pouvoir régler ça en 2 heures. Dûr enfin de se rendre compte à chaque fois plus de son sentiment de jalousie qu’elle a envers moi (qui ai bien plus réussi qu’elle) et que je suis sûrement la personne la plus mal placée pour pouvoir l’aider comme elle le mériterait. Ce Noël était triste, juste triste.

A l’approche de Noël, pour certains c’est l’angoisse de se retrouver en famille et pour eux, cette réunion familiale est toujours un échec. J’ai eu la chance que ça n’ait jamais été le cas pour moi. Aujourd’hui, j’avoue bien volontiers que ce n’était pas le meilleur Noël que j’ai passé, même si encore une fois, j’ai eu la chance de croûler sous les cadeaux…

Un sentiment sympa cependant : pour moi, je le disais au début de ce post, Noël était à la base une fête plutôt familiale. J’ai reçu 7 textos de potes pour la première fois cette année, et je dois dire, ça fait bien plaisir! Merci donc aux envoyeurs de textos… et un gros bisou enfin!