Bientôt…

Bluecosmic

Quand je serai grande j’aurai des chaussures rouges…

Vous vous y connaissez en femmes? Et bien Valentine Féau et Sandrine Jouanin tentent d’expliquer ce que sont ces personnes de sexe féminin pendant ce pestacle d’1h30, aux Blancs Manteaux qui se joue du dimanche au mardi : Quand je serai grande, j’aurai des chaussures rouges…

Elles sont toutes les 2 sur scène et nous jouent une batterie de situation causasses, caractéristiques de ce que peut vivre une femme tout au long de sa vie, enchaînant les personnages les plus délurés les uns que les autres : la gamine, la nympho, la mère, la fille dont le père n’imagine pas sa vie sexuelle… Les comédiennes abordent ces moments avec aisance et fraîcheur et le résultat est au rendez-vous : on rit de bon cœur! Les sujets abordés sont peints de manière à ce que le public reconnaisse des situations vécues, et si parfois elles nous entraînent vers de lourds clichés, l’humour dont elle font preuve relève le tout.

On aime ce Prince Charmant qui se propose de lui « faire l’amour sur la plage du monde parfait où pas même un grain de sable ne lui rentrera dans les fesses », on aime ces deux célibattantes complètement paumées qui draguent à une terrasse de café, on aime cette mère qui raconte à son fils que parfois sa « future femme aura la voix de Jeanne Moreau, le matin au réveil »…

Au final, le mélange prend et l’impression est celle de voir sur scène le couple très réussi Chantal Lauby-Marina Foïs, tout en étant très original. Ca décoiffe ! Mon ressenti est donc plutôt positif (comme celui de Matoo) et je vous encourage vivement à aller les découvrir et les applaudir aux Blancs Manteaux.

Les yeux ouverts

Billet sans aucun intérêt! Juste pour dire que je sais avoir les yeux ouverts en boîte!

@Queen

Soirée fort sympathique en compagnie de Messieurs Son et Munu. J’en ai aussi profité pour appeler furtivement Gyom à New York, faire une bise à mon banquier, à Arnaud Sanchez, fort sympathique et qui a le Numéro Sauveur sur lui (06.66.32.61.50), Adam “complétement défoncé” selon ses propres mots, puis me faire raccompagner par mon ex qui largue par mail et qui m’a enfin fait télécharger Mika. Un lundi de Pâques Relax, en profitant du soleil s’annonce!

Club 18

Quelle soirée intéressante, finalement! En vrac :

- la retrouvaille (pas franchement désirée) d’un ex-rennais-compagnon-de-promo complètement par hasard au Raidd Bar, que l’on invite à se joindre à nous pour effectivement bien débuter ce week-end.

- la situation de se retrouver à l’épicentre de 3 personnes avec qui j’ai couché

- la découverte d’un supérieur hiérarchique de l’INSEE plutôt intéressante, et 1ère Dauphine de l’élection de Mister Club 18

- la souillure de Puma blanches d’un compagnon par la “fraîcheur provinciale”, sous des arcades du Palais Royal, trop clâââââsse! :D

- l’offre d ‘une coupe de champagne par Mister Club 18, so cute, but really so young (19 ans)

- pas de one shot pour cette nuit, mais c’est tout aussi bien! :)

Bon début de week-end!!!

Les pédébloggeurs au Futuroscope

Et oui, c’était ce week-end que tout Poitiers faisait les 2/3 du chiffre d’affaire de la saison de la région! Oui, oui, OUI : les pédébloggeurs débarquaient à Poitiers pour deux jours de folie. Un résumé succint : un feu d’artifice, de la raclette, des lecteurs à nos pieds (surtout à ceux de Matoo), des débats, des prises de positions, de drôles de positions, des images plein les yeux, de l’ambiance dans un bar de lesbiennes, des rues étroites, un brunch sous une verrière, des dindes qui gloussent, des secousses, quelques gouttes, un hôte toujours aussi charmant… En somme de très bons ingrédients pour un moment en compagnie de Fiuuu, GfThanos, Peio, SoGB, Le Phoenix, Mianux et Matoo.

 

Pébébloggeurs Futuroscope

En fait, partir de Paris pour quelques heures est toujours autant un bonheur… Se ballader dans des petites rues avec du Air sur les oreilles, retouver des gens qu’on aime, en découvrir d’autres, discuter… En ce qui concerne le Futuroscope, je m’attendais à un truc bien franchouillard, un brin ringard, en parisien blasé. Que nenni : le concept est vachement bien exploité, les images et les attrac(tions) sont bien pensées et variées. Un bon parc à la française, au final.

Ils en parlent aussi : Peio, Mianux, Fiuuu, Le Phoenix, Matoo, SoGB.

L’@robase

En ce moment, en France et à Paris, le Wifi se développe de plus en plus. Beaucoup de cafés et de bars s’équipent du Wifi, afin de proposer à leurs clients une connexion, gratuite ou payante.

Quand je travaille pour la fac, j’aime bien aussi le faire en dehors de chez moi : je n’ai pas d’endroits particulier pour travailler. Je peux le faire dans ma chambre sur mon lit, allongé comme une loque, avachi sur mon canapé dans le salon ou directement sur le table de mon salon. De même, l’opportunité de ne pas étudier chez moi me plaît, n’altérant que très peu ma concentration : j’aime avoir des gens autour de moi, le brouhaha ambiant ne me dérangeant absolument pas. Et l’atmosphère des cafés français est toujours assez spécifique et géniale. J’en teste alors plusieurs avec une connexion, gratuite bien évidemment.

Près de l’antenne de ma fac, dans le XIIIème, j’ai découvert un endroit complètement atypique par rapport au quartier. Il s’agit de “L’Arobase café” qui se situe 101 rue du Chevaleret, la vue donnant sur la blibliothèque François Mitterand et son nouveau quartier, résolument moderne.


L’ambiance qui règne dans ce salon de thé est très agréable et chaleureuse. Je définirais le style comme étant assez New-Yorkais. Les gens sont charmants, la bouffe est faite maison et la connexion Wifi est à l’oeil si on consomme. Des postes connectés à Internet sont également en accès libre (mais payant). Il y a de nombreuses expositions photos qui s’affichent sur les murs, tous les mois, participant à la spécificité de l’endroit.

Le midi, ils servent des bagels variés et succulents. Entre 2 cours, je vais à coup sûr m’y poser pour y travailler un peu, répondre à mes mails ou suivre mes flux RSS.
J’y passe aussi une fois par semaine, en sortant de mon cours le jeudi avant d’aller au taff. Je demande un café allongé et des petits sablés bons et ronds de Michel & Augustin que j’emporte dans le métro…