Mémoire, mémoire

Un jour de l’hiver 2006, j’ai eu une idée folle : celle de me réinscrire à la fac pour étudier. Depuis octobre, je suis inscrit et je suis un M2 Recherche (DEA). J’ai parlé aujourd’hui avec mon responsable et j’ai choisi le sujet de mon mémoire :
La modélisation de succès d’un film en salle. En gros, il faudra essayer de prévoir le nombre d’entrées en salles. Les données que j’ai à ma disposition (via le CNC) vont de 1987 à 2003, une bonne série donc!

Derrière les exercices économétriques que ça va demander à mettre en oeuvre, je trouve ce sujet particulièrement sexy!

Mon nouveau joujou

Je suis fétichiste…

Il y a 2 types d’objets que j’aime renouveler très régulièrement : mes montres et mes téléphones portables. On est d’accord, ça ne sert à rien, mais c’est mon petit plaisir : avoir dans ma poche, mon téléphone qui me ressemble, ouais, ouais!

Je vais donc délaisser mon ancien mastodonte Nokia 6270, un des premiers téléphone doté d’un appareil photo 2 Mégas pixels que voici :


…et adopter le nouveau mobile Samsung I-Mode Z650i que voilà :


Lui aussi a un appareil de 2 Mégas pixels dont je peux profiter grâce à un grand et bel écran. Il est beau, il est noir et plat et du coup il prendra beaucoup moins de place dans ma poche. C’est mon premier mobile I-Mode, système internet mobile auquel je n’accorde pas un trop grand intérêt. Disons que là, tout de suite la fonctionnalité me casse un peu les couilles car je n’arrive pas à continuer mes échanges de MMS ambiguës avec un de mes exs..!

Voilà donc mon nouveau joujou, beau et high-tech! Je suis CONTENT!!!

Google, Google, dis moi qui il est…

Ce qui est bien aujourd’hui, c’est que grâce à Internet et tout le tralala, on a accès rapidement à tout un tas d’information sur ce qu’on veut, quand on veut. Outre cette première phrase particulièrement pompeuse, je commence à prendre une nouvelle habitude de comportement via Internet.

Par exemple : je rencontre quelqu’un dans une soirée, je passe un bon moment et je rentre chez moi. Ca marche aussi après une rencontre dans un bar. C’est là que la traque commence ! J’exagère, bien sûr !!! Mais Internet permet facilement de se renseigner sur les gens, en tapotant sous Google quelques mots-clés bien pensés. On trouve alors différentes publications, différentes collaborations en rapport de près ou de loin avec le boulot. Après la traditionnelle entrée « Pierre-Paul-Jacques est inscrit sur Copains d’avant ! », on peut alors être amené à trouver des choses intéressantes.
Ce qui me trouble, c’est que ce comportement tend à se généraliser de plus en plus. En fait, il devient presque un réflexe, à chaque rencontre quelle qu’elle soit (professionnelle, amicale, plus intime…).

Ce que je dis, c’est qu’aujourd’hui, Internet nous donne accès à une information sur les gens qu’on n’avait pas auparavant. Ce comportement est assez étrange et peut-être même un peu malsain. Il est évident que je ne traque pas comme je l’ai dit plus haut. Je ne traque pas, mais je me renseigne, via l’information qui est mise à ma disposition. La question est de savoir si la consultation de cette info. est malsaine ou non. Disons que, pour moi, il s’agit surtout de satisfaire ma curiosité, ce bien vilain défaut.

Aujourd’hui, mieux vaut donc avoir de bonnes relations avec le moteur de recherche et maîtriser ce qui est en ligne sous son nom !

Chris, la diva de David!

J’aime écouter de l’électro… Parmi ce style, la House bien commerciale me plaît assez. Et j’assume entièrement! J’aime quand il y a de longues montées, et quand c’est une belle voix j’adore. La plupart du temps, ce sont les voix de femme qui me font tripper. La plupart du temps aussi, c’est une voix de diva black qui est samplée et remixée. Barbara Tucker en est un exemple que l’on peut entendre sur pas mal de titres.

J’aime bien aussi ce que fait David Guetta : ses titres sont bien commerciaux comme il faut, le reste de ses albums bouge plutôt bien, et ses mixs sur FG sont assez détonnants car plus tech (dispo., en podcast ici). David Guetta n’a pas sa diva : sur ses titres connus, c’est Chris Willis qui fait la voix. A l’écoute, ça passe vachement bien, dans le style.

En ce moment, Love Don’t let me Go est bootlégué avec The Egg, et on peut entendre le titre partout. La grande mode, c’est d’en faire un live : ils ont même fait la Star Ac’ il y a peu. Du coup, on peut voir Chris Willis, en vrai : une vraie folle…

Comme quoi, une diva sera toujours une diva!

Rien à voir aussi, mais un petit conseil pour vos petites oreilles : Léo Cuenca mixe le dimanche soir sur FG. C’est house, c’est soul et le mix des deux c’est la SoulFull House. C’est franchement bien et c’est podcasté ici. Wizz!

Left Of The Middle

En ce moment, je suis en pleines révisions et rendu de dossiers pour la Fac. J’ai toujours bossé à la dernière minute, ça, ça ne changera pas : j’en ai partout chez moi, je croule sous les feuilles de cours… et j’aime cette excitation. Je kiffe aussi bosser en musique. Je ne peux apprendre sans musique. Ca pourrait paraître paradoxal, mais c’est comme ça.
Pour l’occasion, j’ai ressorti le premier album de la jolie Natalie Imbruglia : Left of the Middle. Je redécouvre cette petite merveille pop-rock de mon adolescence : c’est un pur bonheur!!! Je me souviens très bien de l’ambiance, j’étais au milieu du lycée et j’écoutais Fun Radio à l’époque. J’avais alors appelé le standard et j’avais gagné l’album dédicacé de l’Australienne (qui avait signé avec un marqueur noir sur la partie la plus sombre de la pochette) :


Aujourd’hui, j’écoute, je réécoute et je savoure en boucle cet album. Tous les morceaux ont leur charme. Mon préféré est Smoke, que j’aurais pu rajouter dans ma fuckin’ list, comme plan du dimanche matin, au réveil!
Et un extrait que j’ai dans la tête en ce moment :


Big Mistake

J’aime les… robots

La semaine dernière, pour le boulot, j’étais invité au Midest, le salon international de la sous-traitance industrielle. Il fallait en fait que je participe à animer un stand. L’expérience était inédite car c’etait la première fois que j’étais exposant.
Et puis, ça m’a surtout permis de me balader un peu dans un salon et de rencontrer les industriels. En fait ce salon est surtout un moyen pour les sous-traitants de se réunir et aux donneurs d’ordre de les identifier.
Outre le test d’un skateboard électrique, j’ai été assez fasciné par des robots. Certains sous-traitants étaient, en effet, venus avec des robots et les faisaient marcher devant les visiteurs. J’ai été bluffé par leur agilité et leur extrême rapidité.

2 exemples en vidéos :

Et en sus, un extrait du dernier All Saints qui me fait tripper.