Pour les fanas de technologie (ce que je suis), voici les dernières sorties ultra-hype à avoir avec soi. C’est complètement inutile, donc indispensable et forcément très cher.
Voici donc 3 objets qui feront fureur à Noël :
La brosse à dent musicale : le constructeur est Hasbro et cette Tooth Tunes intègre un lecteur MP3. En gros, le son passe par les vibration osseuses pour diffuser votre morceau préféré pendant 3 minutes : le temps recommandé par l’association dentaire française. «Les poils sont un peu durs, la tête un peu petite, et la poignée difficile à maîtriser dans les angles délicats, mais c’est quand même super de se brosser les dents en écoutant Black Eyed Peas» selon le rédacteur du site Gizmodo. 12 titres sont proposés pour l’instant : entre autres, les Black Eyed Peas donc, Hillary Duff, Queen, Les Village Peoles (YMCA)… Et voici la pub vidéo :
Prix : 11,99 $/brosse à dents ou 249,99$ pour recevoir le pack des 12.
Le GPS nounours : Navirogo, un GPS Teddy Bear pour son constructeur japonais IXs. Il est mimi comme tout et a l’air tout doux! Mais le nounours a aussi son caractère : rentrez dans la voiture, posez le sur le tableau de bord et suivez ce qu’il vous dira. Vous arrivez là où il faut, génial, il dansera de joie; mais attention si vous ne suivez pas ses instructions et que vous n’arrivez pas à bon port, il se moquera de vous!
Prix : entre 560$ et 800$ en vente sur Internet ou seulement au Japon.
Retour vers l’enfance : voici Elmo en robot. Oui, oui, oui, il s’agit bien d’Elmo de Rue Sésame qui tient a son doudou plus que tout; et ne veut meme pas le preter a son amie Zoe!!! On a réussi à en faire un robot qui se bidonne et je n’ai pas pu resister : je veux ce truc à Noël!
Le rentrée des séries américaines a été assez riche cette année. Disons que les commentateurs TV soulignaient l’omniprésence des séries US sur nos écrans nationaux… à l’image de TF1 qui a osé dégager de sa case du dimanche soir, sa séance hebdomadaire de TéléDimanche, présente depuis la privatisation de la chaîne. Case rétablie dès la semaine prochaine car cette stratégie ne marche pas si bien que ça. Malgré cela, nous sommes de grands dévoreurs de séries. Mais depuis une semaine, nous sommes en plein dans une période de pause de diffusion aux Etats-Unis… Et donc parmi celles que j’avais décidé de suivre, je n’ai plus rien à me mettre sous la dent. J’ai donc décidé d’en commencer une toute nouvelle. J’ai été très déçu par Heroes, un espèce de truc à la Alias qui ne me parle pas vraiment. Par contre, j’ai adoré le drame The Nine, diffusé sur la chaîne ABC, juste après Lost.
Pour tout dire, c’est assez différent de ce qu’on connaît déjà. Enfin, c’est la sensation que j’ai eue en regardant les 3 premiers épisodes. Cependant on retrouve les recettes qui font prendre la mayo : une très bonne mise en scène et un secret qui se dévoile au fur et à mesure de la progression de la série.
Alors, de quoi ça parle?
9 personnes qui ne se connaissent pas, sont prises en otages lors d’un braquage dans une banque ; braquage qui ne devrait durer que 15 minutes. Pas de chance, ça dure 52 heures… 52 heures pendant lesquelles on ne sait rien de ce qu’il s’y passe. 52 longues heures donc, qui lieront à jamais ces neufs personnages. A chaque nouvel épisode on en découvre un peu plus grâce à un flash-back pendant la prise d’otages. Ce flash-back est vécu par un personnage que l’on apprend à connaître un peu plus spécifiquement.
Pour l’instant, c’est vraiment pas mal et je me suis laissé prendre au suspens. Le côté drame sombre rend plutôt bien à l’écran sur les premiers épisodes qui ont été diffusés. On connaît déjà de vue certains acteurs, mais ce n’est pas gênant.
Je ne suis pas un grand fan du magazine gay et lesbien Têtu. Et vu le nombre de ventes, je pense que je ne suis pas le seul à avoir ce comportement. C’est un beau magazine, au beau papier… avec beaucoup d’articles qui se prennent un peu trop au sérieux, ou qui essaient de parler à la cible pédés-CSP+++… ce qui, n’est pas (encore) mon cas. Avec ce contenu un peu léger, ce n’est donc pas étonnant que le canard ne s’arrache pas. Il existe donc quelques investisseurs bien placés, qui font leur métier d’investisseurs et qui essuient les pertes d’un Têtu mal-vendu.
Je n’ai cependant aucune difficulté à reconnaître qu’il m’est arrivé d’acheter Têtu… sur le seul critère du mec de la couv’! Une fois tous les 5-6 mois ou quelque chose comme ça.
En général, les garçons qui y figurent se ressemblent tous un peu : l’abdominal sec, la lèvre pulpeuse et/ou retroussée (de suceuse, quoi), le téton qui pointe… A cela se rajoute un regard dur et froid. Si en plus, il a un casque de football américain sous le bras, la boucle est bouclée : c’est le type de mec sur lequel on doit tous fantasmer qui nous fera acheter Têtu!
Mais ce mois-ci, sur TOUS les kiosques parisiens, grosse surprise : le mec est plutôt sexy, inexorablement foutu comme un Dieu avec des abdos moins secs (tout de même très beaux!), mais surtout : IL SOURIT! Grande nouveauté donc : le loulou a l’air de s’éclater et ça le rend plutôt sympathique. Du coup, je scotche dessus sur TOUS les kiosques : on a l’impression qu’une petite plume lui chatouille un endroit inavouable et moi, il me le donne aussi son sourire!
Je remercie donc chaleureusement les composeurs de Têtu pour ce garçon tout mimi qui étale sa joie sur les murs publicitaires parisiens, tout simplement parce que ça change. Un sourire craquant et rigolo est quand même plus agréable que le regard “fuck me” surtout lorqu’il est affiché partout.
C’est l’automne et ça se sent! Depuis quelques temps, mon agrégateur de flux – très Web 2.0 -, me donne à lire beaucoup de billets un peu déprimants.
On se minitélise sur Coxx, Niklas a une fumée dans l’oeil, XuOl se morfond en citations (attention, c’est long!), Henrisson touche le fond…
Bon, on n’en est pas encore à se tirer une balle, mais vite, un peu de joie et de déconne! Un détailqui tue n°3 chez Zep, par exemple? Ou autre chose…
Parce que là, la déprime… me déprime… alors par pitié,HAUT LES COEURS, sivouplé, car je n’ai surtout pas envie d’être contaminé. Surtout que je suis en ce moment aussi très border line et je ne veux pas basculer du côté obscure. Et si on allait se bourrer la gueule tous ensemble, hein?
Je profite aussi de ce post pour actualiser mes liens vers les blogs que j’aime bien et que je survole. Oui, c’est dans la colonne de droite!
PS : pardon pour l’absence, mais je suis débordé en ce moment à l’image de mon lundi 9 octobre… Ca faisait très longtemps que je ne l’avais pas autant été, et ça ne risque pas de s’arrêter de sitôt.
Aides lance une nouvelle campagne de lutte contre les discriminations envers les personnnes séropos par voie d’affichage, qui débutera le 24 octobre prochain avec de nouvelles affiches en 4×3. Le mot d’ordre de l’association de luttre contre le VIH est de combattre la “sidaphobie” dans les différents univers de la sphère sociale.
Plusieurs peoples ont accepté d’être photographiés avec en légende : “C’est le Sida qu’il faut exclure, pas les Séropositifs”. Laurent Ruquier, Claire Chazal, Muriel Robin, Jean-Pierre Foucault, Johnny Hallyday, Cauet… sont en noir et blanc et vous demande si vous les suivriez toujours autant si ils étaient séropos.
Une nouvelle fois, Aides réalise une belle campagne qui me parle, comme celle des 2 étés précédents :
Que l’on fasse l’amour, que l’on s’envoie en l’air, que l’on baise…, tout dépend de comment vous appeler ça, une bonne musique accompagnante est toujours le petit plus qui décuple les sensations. Voici donc les quelques morceaux que je peux conseiller et que mes amours et/ou amants ont entendu ou entendront. Il s’agit donc de mes suggestions!
Je ne mets volontairement pas les titres pour que vous puissiez vous plonger dans l’ambiance jusqu’au bout!
La sortie de boîte : on rentre à 2, on s’est connu le soir même et on a encore plein de beats dans les oreilles (les avoir ailleurs ne saurait tarder)…
Le plan love : c’est ma musique de dîner romantique par excellence. On vient de terminer un repas à 2, aux bougies. On finit le vin doucement, une dernière gorgée… Les bougies éclairent le lit et nos corps s’enlacent pour une longue nuit d’amour…
Le plan surprise : Une envie soudaine et impromptue de lui sauter dessus! C’est le morceau pour faire sa pute… J’avance doucement vers lui, le regarde profondément (Ks-dédi à Tac-Tac) et langoureusement. Je me frotte à lui. Je sens que ça l’existe.
Le plan qui fait passer un message : Je dois lui dire quelque chose. C’est typiquement la chanson sur laquelle je vais pouvoir lui dire “je t’aime”. C’est aussi une chanson qui marche pour les câlins pré-séparation géographique ou temporelle. Très intense : “tu le sens?”
Attention toutefois à ne pas fantasmer sur son interprète pendant l’acte!
Le plan de la dernière fois : on a rencontré un mec. On le croyait sympa et/ou beau. Seulement on s’aperçoit le lendemain matin ou alors lors de la seconde entrevue que ça va finalement pas le faire du tout. Oui, ça arrive! Bon, en plus, il nous saute dessus. Voilà le morceau pour ne plus jamais avoir à le revoir.
Le plan pote : je n’ai jamais couché avec des potes. M’enfin, il y a un début à tout! Je me vois bien en train de délirer total là-dessus!
Le plan de la première fois : On se découvre, on se déshabille, on est malhabile… Après de longues hésitations, on s’y attaque, gauchement. Il faut une musique calme, mettant à l’aise, détendant, décomplexant. Une petite voix bizarre qui sussure, accompagnant les premières caresses!
La plan du Dépôt : on tourne, les yeux se croisent. Une étrange odeur mêlant subtilement sperme, transpiration, poppers et déo de mauvais goût. Une cabine libre, une ombre à l’intérieur : on y pénètre…
Petite précision : cette situation est uniquement imaginée! Mais morceau à écouter jusqu’au bout, tellement c’est bon!
A vos Fuckin’ lists sur Itunes, et Ipod d’ailleurs, on ne sait jamais quand et où l’envie peut arriver!