iTouch’it

Quelle intense soirée mardi soir : j’ai touché l’iPhone, et je l’ai manipulé aussi (et non ekkooo, je n’en suis pas encore l’heureux propriétaire). Et je ne pouvais pas ne pas me la jouer en parler ici !

Lors de son annonce en janvier par Steeve Jobs, c’était l’effervescence et l’excitation de voir à quoi il allait ressembler, en vrai… Il est ensuite sorti sur le marché US et puis les déceptions ont suivi, suite au verrouillage sur le réseau américain AT&T et au blocage de certaines fonctionnalités. Sur le coup, je me suis dit que je ne me laisserai sûrement pas tenter par la première version qui sortira en France (a priori en exclusivité chez Orange, en espérant que l’exclusivité disparaisse rapidement).
Et puis, je l’ai eu entre les mains mardi soir… Et puis, j’ai été conquis par la manipulation. Je ne vais pas en rajouter, les fans du pommephone savent où trouver le plupart des tests. J’en ai profité pour glaner ici et là quelques infos et l’excellent site FrenchiPhone fournit l’avancement des différents cracks disponibles pour utiliser la bête en France. Je pense donc que je succomberai très vite dès sa sortie sur l’hexagone, d’autant que certains annoncent un déverrouillage progressif des fonctionnalités et la mise à disposition de nouvelles fonctions cachées…

Petit mot aussi sur la nouvelle gamme iPod annoncée hier à la keynote Apple, avec la sortie imminente des nouveaux iPods dont l’iPod Touch qui reprend toutes les fonctionnalités de l’iPhone (connectivité WiFi comprise) sauf la téléphonie. L’iPhone était décrit comme le meilleur iPod de tous les temps, Apple en a fait l’iPod Touch, qui fera son apparition sur le marché français à la fin du mois (sans doute présent à l’Apple Expo à la du 25 au 29 septembre).

Hier soir, j’ai regardé la keynote et une fois de plus, j’ai été halluciné par la présentation digne d’un très bon show à suspense, devant une salle conquise. Apple sait entretenir cet esprit évènementiel à chaque annonce : ils le font bien avec de très beaux produits et ça me plaît !

Merci à Gonzague pour les photos prises lors de la soirée Geek Chic : sympa de découvrir de nouvelles têtes (Vincen-t, Toli, Luc et d’autres…).

Vis ma vie de BlueCosmic

Il est 19h, mercredi dernier, je suis sur la place de la Mairie de Rennes, entre l’Hôtel de Ville et l’Opéra sous un ciel grisâtre et menaçant à l’attendre au rendez-vous qu’il m’a fixé pour aller boire un verre au Picca, le salon de thé qui jouxte la salle de spectacle. Avec quelques petites minutes de retard, je le vois de loin arriver, solaires sur les yeux, slim bien effilé, mocassins argentés aux pieds, brushing au vent et malheureusement sans sac. On se salue, je le suis dans le bar cosy, nous nous installons. Entretien avec Bluecosmic, autour d’un jus de pamplemousse rose…

BlueCosmic and I

Un peu d’appréhension m’envahit, je le regarde et je l’observe, je découvre Maxence ne sachant pas trop à quoi m’attendre. Je le remercie d’avoir accepter l’invitation et je me présente. Il est un peu interloqué d’apprendre que je suis tout comme lui un garçon sensible, quand je lui raconte que je l’avais découvert sur RezoG il y a plus d’un an alors que j’étais à Rennes. “Ah? tu es…”, “Oui, je suis…”
Il s’intéresse à ce que je raconte, ce qui contraste carrément avec le côté hautain de son journal. Sa voix est fluette quand je commence à l’interroger sur son blog. Il développait des mini-sites auparavant, sur les “chanteuses à voix” dont il était fan et à eu l’idée de développer lui même sous Dreamweaver son site, sur lui. Le contact est plutôt agréable, Maxence est charmant, réellement! J’ai l’impression qu’il est assez dépassé par le personnage qu’il renvoie, et je l’interroge à ce sujet. Il remercie grandement tous les personnes qui le décrient et qui accentuent encore plus le personnage, “ses esclaves qui me rendent service” s’amuse t-il à me dire. Et cela le fait sourire en se rappelant que lorsqu’il cherche sous Google (“Guoguole” dans sa bouche) “Bluecosmic” et qu’il tombe sur des choses telles que “Nous sommes le vendredi 6 octobre 2006, et BlueCosmic est toujours vivant“, ou alors quand il voit une photo-montage de lui avec de nouvelles lèvres : “Mais enfin, je n’en ai pas besoin et puis, j’ai un très bon plasticien!”
Il faut dire qu’il est lu par 4000 visiteurs par jours et qu’il doit recevoir une centaine de mails par semaine, dont les deux tiers sont des mails d’insultes. Ca le fait sourire. Je suis assez troublé, en fait, par le personnage hautain qu’il renvoie sur son blog, la personne charmante que j’ai en face de moi et celle qui se prend dans la gueule ces mails… Il a l’air de gérer ces déséquilibres. Il souligne que son journal lui apporte un certain succès avec les “garçons” après que je lui ai demandé ce qu’il en était des “mecs” mais il regrette que ce soient les gays qui le cassent le plus : “Je croyais pourtant que les gays étaient des gens ouverts, mais en fait pas du tout” m’annonce t-il sur le ton de la confidence…
Il m’apprend l’origine de son pseudo. “A une époque, je portais des lunettes complètement farfelues, qui recouvraient tout mon visage et j’en portait des bleus lorsque j’ai rencontré une chanteuse à voix dont je suis fan, Patricia Kass, je ne sais pas si tu connais?” J’acquiesce, tout de même! “Elle m’a alors dit que j’étais complètement… cosmique”. J’embraye sur le regard des gens dans la rue, il me montre son “meilleur ami” qu’il a devant lui : son iPod vidéo noir que “je porte tout le temps sur les oreilles, je ne me rends absolument pas compte. Par contre il m’est arrivé une situation cocasse au Zara de Rennes quand une caissière m’a demandé de lui signer un autographe”. Je ris intérieurement, il comprend que je le vois mal chez Zara : “Si, si, il m’arrive d’aller m’avanturer chez Zara!”.
Je lui demande s’il a eu des opportunités nouvelles via son blogs. Il me répond qu’il a fait 2-3 choses avec Melle Agnès sur Canal + et sur l’émission qu’elle produit sur Paris Première. Par contre, il ne souhaite pas s’y consacrer à fond, car il doit continuer ses études “pour faire plaisir à mes parents”. Il rajoute : “J’ai eu une proposition pour jouer dans une série française qui se tourne dans le sud de la France… Euh… Sous… Sous quelque chose…”. Moi, complètement ahurit : “Sous le Soleil”?. Lui : “Oui, voilà, mais je ne me vois vraiment pas là dedans…”. Je lui dit que je trouve ça dommage…

Côté vie privée, il m’apprend qu’il est heureux d’être à Rennes car il y a moins de magasins intéressants pour dépenser qu’à Paris où ses parents vivent. Il me confirme qu’il y a souvent plus de 2 zéros à ses journées-types de shopping dans la capitale, où il se déplace en voiture ou en taxi exclusivement. Du coup, à Rennes, il vit à l’hôtel depuis 2 ans et demi. Il regrette juste que les assiettes dans lesquelles il mange portent le nom de l’hôtel : “Ce n’est pas très personnel”. Je lui répond que je comprend (!!!) et lui demande s’il cuisine lorsqu’il reçoit des amis chez lui : “Oh, non, j’appelle un traiteur… et je fais réchauffer au micro-onde… c’est un peu un comble!!!” pouffe t-il. Il commence cependant à en avoir assez de la ville bretonne en pensant en avoir fait le tour et espère peut-être aller dans une autre ville pour continuer ses études de droit : il doit finir sa licence en ce moment.
Il se renferme un peu quand je lui demande son âge. “Cela fait partie du personnage BlueCosmic, personne ne le sait vraiment” et il refuse de me le confier, il n’aime pas vieillir de “peur de perdre son innocence” Cela fait 4 ans qu’il a 19 ans sur RezoG… Et certains contacts rennais m’ont avancé qu’il devait plutôt avoir quelque chose comme 26-27 ans. Pas si étonnant que ça, de sa part!

Tout le monde connaît le personnage Bluecosmic. Il y a quelques temps déjà, je m’étais dis qu’il fallait absolument que je le rencontre pour discuter, mais je n’avais pas eu l’occasion de revenir longuement à Rennes. J’y ai passé une semaine pour le boulot et je lui avais donc envoyé un courrier électronique au hasard, ventant la “passion qui déchaîne tant l’adhésion que le rejet, un sentiment binaire de curiosité assez étrange mais dans les 2 cas, la curiosité de [le] lire”, un peu pompeux, mais efficace : il m’a répondu une semaine après pour accepter l’invitation. J’ai satisfait ma curiosité et ai franchement passé un moment agréable avec Maxence, charmant dans la réalité et tellement décalé que ça en est quasi-normal. J’espère que vous avez pu vous en faire une idée, par procuration.

Le gros Bazar de l’Hôtel de Ville

Aujourd’hui, Tac-Tac et Ikare ont testé pour vous le BHV Homme. En ce jour d’inauguration exceptionnelle, nous avons tous deux, en bons compères, posé une journée de RTT pour déambuler dans les rayons du nouvel espace tendance, fashion et de chasse au chapon. Dans la petite rue derrière le BHV, tout le Marais, s’est pris d’une folle effervescence, à croire que tous les pédés étaient en congé ce jour-même. Du coup, l’endroit est blindé et les escalators, place centrale du magasin, deviendront à coup sûr le nouvel endroit de cruising, au coeur de la communauté : tout le monde se matte, tout le monde juge les éventuels achats des autres et un coup d’oeil désapprobateur d’un joli garçon vous fera rendre à la vendeuse ce polo que vous trouviez si seyant et dans lequel vous vous sentiez si sexy.

A l’entrée du magasin, le client est accueilli par un buste géant du “Mâle” de Jean-Paul Gaultier autour duquel il a la possibilité de poser puis de repartir avec une photo-souvenir. L’endroit est divisé en 5 étages : Beauté, “Moi et mon costume”, “Moi et mon week-end”, “Moi et mes jeans” et “Les créateurs et Moi”. C’est d’ailleurs à ce dernier étage que le lieu de drague est absolument génialement stratégique, afin de repérer un futur mari CSP+++, pile entre les espaces Agnes B. et Zadig & Voltaire. Heureusement pour nous, un peu partout dans le magasin sont disséminés des conseils supra-tendances qui feront de vous un mâle, un vrai : comment bien repasser sa chemise, comment nouer une cravate correctement, comment avoir une belle peau, comment bien récupérer un ongle cassé…

Parlons un instant des fringues et de la mode, tendance du moment : les pasheminas roses et les chemises mixant style country et fioritures florales vous confirmeront bien que vous êtes dans le haut temple de la virilité.

Je lève donc mon verre à la virilité. Vive le BHV Homme!

Poker Mania

Parmi déjà toutes les choses auxquelles je suis addict, je suis encore une autre mode : celle du Poker. Tout a commencé quand j’étais étudiant sur mon campus rennais où, en alternant les soirées beuveries, quelques parties étaient organisées. On jouait, au vrai Poker, celui où l’on a 5 cartes cachées en main, avec la possibilité d’en échanger à la banque. Toujours en suivant, l’ordre des mains possibles.

 

Et puis, en arrivant sur Paris, on a commencé à entendre parler de ce à quoi tout le monde joue désormais : le Poker Texas Hold’em. Le principe se base sur les règles du Poker, c’est-à-dire avoir la meilleure combinaison face à soi. Mais la différence, c’est que le joueur n’a plus que 2 cartes cachées entre les mains, et 5 cartes sont ouvertes sur la table, communes à tout le monde. Il s’agit alors de composer la meilleure combinaison avec les 7 cartes disponibles. Cette variante fait fureur depuis 1 an et demi. Tout l’intérêt est qu’il décuple les possibilités du bluff, composante essentielle à une table de poker. Assez pour que Canal + confie à Patrick Bruel (champion du monde de Poker en 1998) les commentaires de la retransmission des parties. Beaucoup de chaînes câblées se mettent à retransmettre les tournois comme Paris Première, RTL9 ou dernièrement Direct 8. Le tournoi est simple : une même mise de départ, avec tous les joueurs qui ont le même nombre de jettons. Le tournoi s’arrête quand il n’en reste plus qu’un, qui gagne la pot (les derniers sortants ont tout de même un gain intéressant).

 

Je m’y suis donc mis et j’ai adoré. Aujourd’hui, il m’arrive de jouer avec des amis pour des parties privées en cash-game. En fait, ce n’est pas comme un tournoi : le joueur peut sortir de la partie quand il le souhaite. Du coup, il a la possibilité de se recaver (c’est-à-dire de redonner de l’argent à la banque pour avoir de nouveaux jettons). En général, lors de nos parties, la cave (mise minimale à demander à la banque) est de 10€. En jouant, on peut donc facilement se retrouver avec 10-15€ sur un coup… de cartes! Puis, j’ai essayé de me mettre à jouer sur Internet, mais c’est franchement pas intéressant : je n’ai joué que quelques parties pas follement excitantes. En ce moment, est diffusé sur RTL9, le World Series Of Poker (WSOP) dont la finale lieu jeudi à 23h30. Je suis totalement accroc! La mise à mettre au départ est de simplement… 10.000$… pour un gain de 12 millions! Surtout, le poker devenant une mode, le WSOP a attiré une foule de joueurs jeunes. Pour le WSOP 2006, 9000 personnes étaient inscrites. Aujourd’hui, le cheap leader (celui qui a le plus de jettons) du WSOP est un amateur, producteur de séries TV (Jamie Gold), et les professionnels ne sont plus que 2 autour de la table finale. Oui, oui, il y a bien des professionnels qui vivent de leurs gains. Il faut quand même pouvoir mettre les 10.000$ sur la table! La technique est différente que les cash-games puisque lorsqu’on n’a plus de jettons, on sort du tournoi. C’est là que le tapis ou le all’in est super important : c’est miser tous les jettons que l’on a face à soi que l’on parie sur un coup. Le risque est celui-ci : si le joueur vous suit et perd, vous doublez votre tapis (le nombre de jettons), au risque de tout perdre.

 

Cette semaine est assez tendue pour moi, beaucoup de boulot pour la fac, je suis débordé. Mais je m’étais accordé une pause “détente” en participant à un tournoi. J’ai trouvé le Cercle Concorde au métro Cadet qui organise ce type de tournoi, avec différents droits d’entrée (500€, 200€, 50€ ou 30€). Hier soir, j’ai donc participé au tournoi à 30€. L’endroit est une salle de jeu privée, en rentrant, avec un ami, on a vu un mec partir en pleurant. L’hallu totale! De quoi se mettre dans l’ambiance! Ambiance enfumée, moquette, zen… 21h, le tournoi commence… 15 tables de 10 joueurs, servis par un croupier. Et là, j’ai complètement perdu mes moyens, c’était super destabilisant et impressionant. J’ai été le deuxième à sortir au bout de 20 minutes (1,5 €, la minute!), sur un tapis qu’on a suivi. J’avais un paire de valets servie (les 2 cartes avant qu’on découvre les 5 cartes communes), dont le jack de coeur. Je fais monter la pression très vite en pariant fort. Les cartes communes qui se découvrent au fur et à mesure des mises m’apportent une couleur au coeur (5 cartes de coeur). Je m’enflamme : mes valets ne valent plus rien, mais j’ai une couleur. Je fait tapis. Le mec qui m’a suivi a aussi du coeur… mais un roi (plus fort que le valet en carte aditionnelle). Les boules.

 

Voilà, ma première expérience d’un tournoi de poker. Je vais continuer à en regarder un peu à la télé, ça coûte moins cher!!! Mais je réessayerais quand j’aurais un peu plus de temps.

 

Cependant y’a t-il des amateurs à convier à une prochaine table privée que j’organise?!

Billet depuis un Coffee Shop, vendredi 05/01/07 à 17h30

Enregistrement instantané :

…pour se mettre dans l’ambiance…

Des écrits qui s’envolent sous les doigts posés sur mon Powerbook, comme les effluves du join qui s’élèvent depuis le cendrier à côté de moi. Une sensation de planer, d’avoir la tête lourde et légère en même temps. Mes paupières me sont un peu tombées sur les yeux et j’ai un sourire au coin des lèvres. Je pianote doucement sur mon clavier avec du Ray Charles en fond sonore. Les mots me viennent cependant plus rapidement que dans d’autres circonstances.
Je ne suis pas un gros fumeur du tout. Il m’arrive de tirer sur un pét’ autour d’une table de poker ou dans une soirée. Je préfère les trucs doux, les trucs qui ne me font trop d’effets, et que je peux maîtriser. Je préfère ne pas toucher à de l’herbe qui défonce dur, ça m’angoisse. Par contre, fumer seul, c’est la première fois. J’ai pas mal hésité avant d’entrer dans un Coffee Shop. Une fois dedans, j’ai demandé quelque chose de léger. C’est allemand, et c’est effectivement pas très chargé. Assez pour ralentir mes idées et que celles-ci puissent être agréables.
Il était écrit que Kadinsky (là où je suis), accepte bien les “débutants”. Effectivement, la personne qui m’a servie a été très joviale et a su me proposer ce qui pouvait m’aller. Je me suis commandé un café et me suis installé. Elle a alors pesé, et me l’a apportée sur le bord de la tasse, dans un petit sachet en plastique transparent. J’ai rassemblé mes souvenirs de rouleurs de clopes et ai roulé le pét’. Timidement allumé, les effets se sont fait sentir, par saccades, au rythme de mes inhalations.
Je regarde les gens passer dans la petite rue. C’est vraiment sympa Amsterdam. Je l’ai déjà dit, mais la ville fait petit village. On s’y ballade avec plaisir… C’est
J’observe les gens autour de moi. 3 pédés sont assis à ma gauche et viennent d’écraser leur mégot. C’est fou, comme quand je suis un peu stone, je n’arrive pas à articuler et réfléchir assez vite pour baragouiner quelque chose. Alors je les écoute. Je crois comprendre (je viens de taper “qu’omprendre” sur l’ordi, c’est grave docteur?!.), je crois comprendre donc que l’un tient la chandelle pendant que les 2 autres se dragouillent en ce racontent leurs précédentes dates, et leurs plans uniformes. L’autre se fait royalement chier… Il rallume un autre buzz…
A côté, un couple de français, la cinquantaine ne savent pas quoi se dire… Au rythme de “c’etait bien, ce musée, hein?!!” “euh, voui”… c’est carrément triste.

Mais je ne sais pas quoi faire de ce qu’il me reste dans le sachet transparent. Je ne sais pas mentir et je pense que si je la garde, la culpabilité paraîtra sur mon visage. J’ai en plus mon piercing en pointe, à la place des deux boules transparentes, et je ne me suis pas rasé des 3 jours. Pas envie de me faire prendre la tête en arrivant à Gare du Nord. Je pense que je la laisserais en partant.

Ce texte doit être incohérent comme tout, bourré de fautes, je m’en excuse… Mais cet “exercice” m’a bercé. Je ferme mon laptop est fonce direction Centraal Station, pour m’endormir dans le Thalys.
Retour à Paris.

Mon jeudi 4 janvier 2007 à Amsterdam